Quelques jours avant notre départ pour Madère, mon frère et moi affutons nos jambes sur l’île d’Yeu, dont nous faisons le tour en un jour.
Notre boucle (lien openrunner)
Pour les habitués que nous sommes des îles bretonnes, celle d’Yeu se distingue avant tout par ses bâtiments, aux toits de tuiles et aux façades blanchies sans pierre apparente.
L’architecture d’Yeu
Port Joinville
Maisons typiques
Le fort de Pierre-Levée
Chapelle de l’arrière-pays…
…et de la côte
Le phare de la pointe des Corbeaux
Le port de la Meule
Bien qu’elle rappelle Groix par ses proportions et sa végétation, l’île d’Yeu nous plait davantage, grâce à une côte sauvage préservée qui couvre les deux-tiers de son front de mer.
Un littoral rocailleux et déchiré
Aux sections minérales et venteuses en succèdent d’autres plus tranquilles, lorsque le sentier s’éloigne du rivage.
La lande d’Yeu
Comme en Bretagne, les plages sont rares et encaissées côté océan, plus étalées côté continent.
Trois plages, trois ambiances
Au coeur de la côte sauvage nous attend le clou du spectacle: un célèbre château, bâti sur un rocher autonome qu’un pont-levis relie à l’île.
Le Vieux Château
Trente bornes en une journée, c’était un minimum pour préparer un trek de dix jours sur une île autrement plus vaste et exigeante, celle de Madère.