La plus intéressante cité côtière visitée en Sicile forme en même temps le terme du trek proprement dit : il s’agit de la station balnéaire fameuse de Cefalù. Je n’ai malheureusement pas pu visiter la Rocca, son caractéristique rocher central, dont les fortifications arabisantes sont fermées pendant les fêtes, et me suis contenté d’une balade en ville.
L’approche de Cefalù
La Rocca vue de loin…
…et de plus près
Au pied de ses parois s’étend la station balnéaire
En aval du mur d’enceinte inférieure ceinturant le rocher…
…la cathédrale fondée par les normands
Sa façade
Sa paroi latérale
La cathédrale est ceinturée…
…par les toitures du centre historique…
…lui même cerné d’immeubles touristiques modernes
Le symbole de Cefalù est son front de mer, sur lequel se tassent les façades pittoresques de la vieille-ville.
Le front de mer de Cefalù
Depuis le port de plaisance moderne…
On s’avance sur un littoral rocheux…
…vers un alignement hétéroclite de façades bariolées…
…coincées entre la mer et la Rocca
La portion la plus photogénique de la jetée
Le littoral se transforme par la suite en une plage plus anodine…
…d’où j’observe une dernière fois la jetée
En introduction du trek, j’avais visité la ville portuaire de Catane, aux rues bien moins évocatrices, si ce n’est du mot « poubelle ».
Catane
La cathédrale de Catane, seul bâtiment de la ville correctement ravalé…
…avec quelques bâtiments palais environnants
Le château d’Ursino, qui dominait directement la mer avant l’éruption de 1693
L’amphithéâtre romain
Des ruines antiques…
…médiévales…
…et modernes
Le marché de Catane
Bien que j’ai omis d’en visiter la cathédrale et le palais des Normands, gagné par la lassitude physique, la ville de Palerme, capitale de l’île, m’a paru bien mieux tenue, avec ses grandes avenues gorgées d’édifices majestueux de toutes les époques.
Palerme
La piazza Pretoria…
…avec son immense fontaine circulaire
L’église étrange de la Martorana
Le carrefour des Quattro Canti, qui séparait à l’époque moderne la ville en quatre quartiers
L’église Saint Dominique…
…et celle de Sainte Rita
Le Teatro Politeama
Le Teatro Massimo Vittorio Emanuele
A l’aéroport de Palerme s’achève un trek de Noël plus mitigé que les précédents. Démissionnant sous peu du travail qui m’amenait à les entreprendre, je n’aurai plus à m’y astreindre et, Tour du monde occidental oblige, devrait passer l’hiver suivant dans l’hémisphère sud, sur les terres d’Australie et de Nouvelle-Zélande, bien plus hospitalières en cette période.