[quatorzième trek de l’Europe en 25 treks]
Le vol qui m’emmène de Norvège en Bulgarie fait halte à Copenhague. Bien que les consignes sanitaires semblent m’imposer de rester à l’aéroport le temps du transit, personne ne se soucie de mon sort ; j’en profite pour visiter en vitesse la toute proche capitale du Danemark.
Copenhague fait face à la ville suédoise de Malmö, à laquelle elle est reliée par un tour de force architectural, le pont de l’Øresund, moitié suspendu, moitié immergé.
Au sud-est de la ville, un étrange banc de sable se détache de la côte et forme l’Amager Stransdpark, où se cotoient joggeurs et flâneurs.
Les plages de l’Amager Stransdpark
Qui entre en ville constate sans tarder que le mode de déplacement privilégié des habitants n’est pas la voiture, mais le vélo.
Je déambule au hasard dans un centre-ville où la douceur de vivre à l’européenne n’a pas encore été saccagée par l’hystérie sanitaire.
Au centre de Copenhague
Près du Kongens Have, le plus vieux parc de la ville…
…le château de Rosenborg, ancienne résidence royale
La place d’Amalienborg
La Grande place
La plus célèbre coin de Copenhague est le canal de Nyhavn, bordé de maisons multicolores.
Les façades de Nyhavn
Le sud de la ville compte pas mal d’autres curiosités.
Au sud de Copenhague
Divers canaux
De vieilles bâtisses et entrepôts réaménagés
Au coin des rues, des maisons assez classieuses
Un peu moins classieux, le “quartier alternatif” de Christiania, autrefois autogéré, mais toujours prisé des marginaux et autres drogués
Il est intégralement délimité par d’immondes barrières taguées
Quatre heures de marche forcée et me voilà de retour à l’aéroport, pour une transition en douceur vers la région la plus riche en surprises du voyage : les Balkans.