Trois ans après Rome, trois mois après Venise, je complète le triptyque des villes les plus visitées d’Italie en m’envolant avec l’ami Manu pour Florence.
Sa vieille-ville est moins étendue que celle de ses aînées ; je m’y attarde tout de même trois demi-journées, dont l’une consacrée exclusivement à la plus célèbre collection de grands maîtres du monde, la galerie des Offices.
Au sud-est du centre historique, plusieurs belvédères permettent de l’apprécier dans son ensemble.
Panoramas sur Florence
En toile de fond, les Appenins
Sur la rive droite du fleuve de l’Arno, le très homogène centre historique
Ses quatre monuments les plus célèbres : de gauche à droite, le Ponte Vecchio, le Palazzo Vecchio, la cathédrale Santa Maria del Fiore et la basilique Santa Croce
La rive gauche vue de l’esplanade de la basilique San Miniato al Monte
On y repère les restes des fortifications médiévales
Au-delà démarre la campagne toscane…
…émaillée d’innombrables villas
Le monument le plus extraordinaire de Florence, et peut-être d’Italie, est sa cathédrale, dont la coupole gigantesque et la nef reposent sur d’élégantes façades en marbre blanc, rose et vert.
Le Duomo
Façade et coupole
Les trois porches aux tympans peints
Accolés à la cathédrale…
…le campanile…
…et le baptistère Saint-Jean
Toute aussi prestigieuse est la Piazza della Signoria, autour de laquelle s’accumulent les témoignages de la grandeur passée de Florence.
La Piazza della Signoria
Vue de la place sur le Palazzo Vecchio…
…sa tour crénelée…
…et sa cour intérieure
La Loggia des Lanzi
La fontaine de Neptune
Quelques rues plus loin, on débouche sur un fleuve qu’enjambent de multiples ponts, dont le plus célèbre est le Ponte Vecchio.
Vues sur le Ponte Vecchio
Le reste de la ville regorge d’édifices de la Renaissances : églises, villas, statues, fortifications.
Dans les rues de Florence
La basilique Santa Croce, où sont enterrées les gloires florentines
Une autre basilique, dédiée à Santa Maria Novella
Une troisième, celle de San Miniato al Monte…
…à laquelle on accède par un escalier monumental
La Piazza Santo Spirito
L’ancienne porte de San Miniato, creusée dans l’enceinte sud
Villas typiques du centre-ville
Peu adeptes des musées, je prends toutefois du plaisir à observer de près, dans la galerie des Offices, des tableaux de Giotto, Boticelli et consorts, tant de fois contemplés par livres interposés.
Quelques toiles de Boticelli, sans conteste le plus impressionnant peintre florentin
Trois jours plus tard, au terme d’un trek contrarié dans les Appenins, j’échoue en fin de soirée dans la ville de Pise et parviens, au pas de course, à visiter la célèbre Piazza dei Miraculo avant la tombée de la nuit.
La Piazza dei Miraculo
Sa fameuse tour penchée
A quelques dizaines de mètres, la cathédrale, dont on ravale les bandes de marbres en prévision de la saison touristique
Le Duomo vu du sud-ouest
Sa façade principale…
…fait face à un baptistère…
…moins saisissant, certes, que celui de Florence
Quant au centre historique de Pise proprement dit, il ne manque pas de charme.
Dans les rues de Pise
Villas tassées le long de l’Arno
Sur la rive sud, la petite et élégante église Santa Maria della Spina
L’église Santo Stefano dei Cavalieri
A quelques mètres, le Palazzo della Canonica
Les fêtards se massent sous les arches de la Piazza delle Vettovaglie…
…ou sur la Piazza Garibaldi
Une fin en douceur pour un voyage dont la partie centrale, sur les cimes des Appenins, aura été autrement éprouvante.